Édifier et former, les uns avec les autres, les uns pour les autres : au sein du monde néo-apostolique, beaucoup de choses – parfois inhabituelles - se font avec engagement et sous la dictée de l’amour du prochain.

Ça bouge dans les communautés néo-apostoliques de par le monde : les communautés en Italie et dans le Tessin (Suisse italienne) ont un nouvel évêque en la personne d’Ivan de Lazzari.

Des services divins engloutis dans la neige, l’école du dimanche au son des flûtes et des trompettes ainsi qu’un programme bien rempli en ce qui concerne l’apprentissage et la prière : les communautés néo-apostoliques de par le monde ont débuté la nouvelle année de manière très différente.

Réussir dans la vie et trouver un équilibre personnel : de nombreuses personnes n’ont pas besoin de croire en Dieu pour cela. Par conséquent, à quoi sert encore l’Église ? Voici une réponse claire émanant de l’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider.

Au cours du second semestre 2018, l’apôtre-patriarche a ordonné neuf nouveaux apôtres et mandaté deux nouveaux apôtres de district. Un apôtre est décédé durant son exercice ministériel actif, sept apôtres et deux apôtres de district ont été admis à la retraite, et un apôtre a dû être déchargé de son ministère.

Louer Dieu d’une voix de velours, aimer Dieu en dépit de toutes les résistances et pratiquer l’amour du prochain sans frontières : ils vivent leur foi chacun à sa manière unique – Manilo, Mannki, Angela.

Un double engagement pastoral : au sein de la communauté et auprès des vétérans. Craig Esterhuizen est auprès des âmes avec le cœur et les mains. En un jour anniversaire, il a reçu un soutien supplémentaire.

Les chargés de pastorale sont censés savoir de quoi ils parlent. Les fidèles n’attendent pas seulement d’un chargé de pastorale des conseils et des réponses à toutes sortes de questions, mais aussi qu’il réagisse avec emphase aux problèmes relatifs à la vie et à la foi. Des formations peuvent y contribuer.

L’Église rend-elle les hommes malheureux, juste pour pouvoir les consoler ensuite ? – C’est un reproche stupide, déclare l’apôtre-patriarche. Car : La vie procure suffisamment de souffrances. La foi, néanmoins, apporte la consolation et donne aussi les forces de faire ce qui est bien et bon.

Urs Hebeisen voyage – au-delà des frontières géographiques, techniques et parfois aussi mentales. En tant qu’apôtre de district, il a marqué durant de nombreuses années des personnes, des communautés mais aussi l’Église internationale. Dimanche, l’apôtre-patriarche admettre cet homme au grand cœur à la retraite.

Qui donc peut prétendre toujours ressentir l’amour de Dieu ? Cependant, on peut toujours le voir. C’est ce qu’a démontré l’apôtre-patriarche récemment lors d’un séjour au Brésil – au cours d’un service divin qui doit attirer notre attention.

La lecture des Saintes Écritures est essentielle pour les chrétiens. À l’avenir, c’est ce que vivront encore plus souvent les participants aux services divins néo-apostoliques. Les apôtres de district ont décidé trois changements lors de la session d’automne de leur assemblée.

Un service divin en faveur des défunts au moment de l’anniversaire de la communauté ? Oui, c’est possible, du moins à Silvertown (Afrique du Sud). Car, là-bas, la joie et la tristesse sont très proches dans le cadre de cette commémoration.

Le voyage aura duré cinq jours. Une fois au but, ce ne sont pas 30 passagers fatigués et irritables qui quittent le car, mais des frères du ministère joyeux et enthousiastes qui se ruent dans les locaux dédiés au séminaire. Pourtant, ils traversent actuellement des temps difficiles dans leur pays d’origine.

Ils font une musique formidable depuis plusieurs années avec 43 voix. Un chœur de chambre néo-apostolique participe à un concours et demande à être soutenu. Il manque encore quelques voix.

Tout un service divin en une seule phrase : « Tu as été élu, ordonné, mandaté et tu as reçu les pleins pouvoirs pour prêcher l’Évangile : par amour pour Dieu et pour les hommes ». Ce que cette phrase contient et pourquoi cela concerne chaque croyant …

Nous approchons de ce que l’on appelle « le temps silencieux » : À la fin de l’année liturgique, les chrétiens doivent réfléchir, jeter un regard rétrospectif et puiser un nouveau courage grâce à la perspective d’un avenir meilleur.

Le « bon Dieu » – c’est un nom que l’on entend souvent pour désigner le Créateur du ciel et de la terre. Malheureusement, son utilisation a pour conséquence que de nombreuses personnes rapetissent le Dieu tout-puissant, afin qu’il s’adapte à leur conception. Voici quelques observations relatives au thème des services divins du mois d’octobre.