Les préparatifs en vue des grands événements sont certes fatigants, mais, d’un autre côté, ils apportent aussi beaucoup de plaisir. On trouve de grandes et de petites histoires à ce sujet dans toutes les communautés. Toutes nous font comprendre une chose : s’engager au sein de l’Église procure du plaisir !

Porter témoignage par mégaphone, telles étaient les méthodes utilisées par les pionniers en Ouganda. Ce week-end, l’Église néo-apostolique y célébrera deux anniversaires, et l’apôtre-patriarche sera l’invité d’honneur.

Jésus avait été arrêté et comparaissait devant le sanhédrin. À l’extérieur, dans la cour, Pierre attendait. Une femme le reconnaît et affirme publiquement que son langage l’a trahi. Quel langage parlons-nous ?

L’enseignement, la prédication et la doctrine doivent passer auprès de tous de façon compréhensible. Ces derniers jours, des frères et sœurs ont montré de quelle manière cela peut se faire encore mieux qu’auparavant.

Fils d’un pasteur protestant, Helmut Strippel a adhéré à la foi néo-apostolique à l’âge de 24 ans. Âgé de 70 ans, ce prêtre à la retraite s’engage aujourd’hui auprès du Conseil des Églises chrétiennes (CEC).

Une parole biblique, trois images, de nombreuses sources et un cycle – quand il s’agit de la « bénédiction », les idées ne manquent pas. Voici tout un flot d’impulsions nouvelles issues d’un service divin célébré par l’apôtre-patriarche.

Le pain et le vin dans la même hostie ? Des gouttes de vin au lieu de la coupe ? Est-ce encore conforme ? La forme de la sainte cène au sein de l’Église néo-apostolique soulève un certain nombre de questions. Les réponses sont fournies au regard de 2000 ans d’évolution.

Au milieu du Pacifique Sud, juste avant l’Antarctique, ou sur une petite île, quelque part en Afrique : il est possible de célébrer des services divins et de vivre la communion fraternelle presque partout dans le monde. Pour cela, il faut néanmoins se mettre en route …

La ville que visitera l’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider ce week-end est Colonia del Sacramento, en Uruguay. Au programme de son voyage sont prévus deux services divins et une journée de jeunesse.

Il est bon et important « d’y croire »‚ mais le message chrétien de salut peut tout à fait nous enthousiasmer et nous emporter. En Angola, l’apôtre-patriarche a axé sa prédication sur ce qui se produit alors avec le croyant et sur la façon dont son entourage peut le percevoir.

Reste riche celui-là seulement qui sait gérer consciencieusement sa richesse. Cela vaut pour les richesses terrestres et pour les spirituelles. L’apôtre de district Enrique Minio (Argentine) développe quelques pensées au sujet de la devise de l’année.

Continuellement de nouvelles choses – il ne se passe pas un seul jour sans qu’il n’y ait de nouvelles choses dans le monde. Les communautés néo-apostoliques, aussi, ont des nouveautés à communiquer – en voici un petit aperçu.

Il est nettement plus haut que le ciboire de sainte cène, porte une gravure continue et fine sur l’extérieur et ... n’est pas posé sur l’autel lors de chaque service divin : le ciboire de baptême que l’Église néo-apostolique des États-Unis introduit actuellement.

Donne richesses : Dieu donne sans limite et sans condition. Comment réagir à cela ? Des réponses ont été données le 12 janvier 2019 à Huambo (Angola) – la prédication basée en Romains 2 : 4 sous forme de citations de l’apôtre-patriarche.

Quel est le premier devoir d’un photographe ? Parler ! Et ce, longtemps avant d’appuyer sur le déclencheur au cours du service divin. Les concertations sont utiles à toutes les personnes concernées et ouvrent de nouvelles possibilités – ce qui est important.

Ce n’est pas tous les jours qu’une Église territoriale consacre une page entière de son site à un ancien de district. C’est pourtant ce qu’a fait l’Église néo-apostolique des Philippines.

Le mois de mars a cinq services divins dominicaux à nous offrir, qui résument en substance l’évolution, c’est-à-dire le parcours du chrétien, depuis son élection jusqu’au retour de Jésus.

Les gens qui réussissent en sont reconnaissants à Dieu. Ils savent ce qu’ils lui doivent et ne considèrent pas seulement leurs propres ressources. Ce message, l’apôtre-patriarche l’a formulé au cours d’un service divin destiné à la génération montante