La Covid-19 a une influence sur le déroulement liturgique au cours du service divin. Là où des chorales chantaient autrefois, les voix doivent désormais se taire. Ce qui reste, c’est la recherche de solutions créatives.

Mi-mars, les premières communautés ferment en raison de la pandémie liée au coronavirus. L'Église réagit immédiatement : dès lors, les services divins sont diffusés publiquement et peuvent être suivis par streaming en direct sur YouTube.

« Nous nous réjouissons d’apparaître enfin sur la carte », explique l’apôtre Robert Worship avec enthousiasme. Le responsable administratif de l’Église territoriale d’Afrique australe accompagne un projet hors du commun : la première cartographie des communautés néo-apostoliques au Mozambique.

Les miracles ne sont pas la solution, ils ne sont qu’un indicateur de celle-ci. Il s’agit plutôt d’accomplir soi-même certains miracles et de montrer ainsi l’exemple. Comment, pourquoi et dans quel but ? – Voici quelques indications issues d’un service divin célébré par l’apôtre-patriarche.

Esther Kompare est la nouvelle présidente de l’Église néo-apostolique en Slovénie. Pour la première fois, c’est une femme qui assume cette responsabilité dans ce pays.

Le nombre de cas augmente et diminue, les décisions administratives sont renforcées puis assouplies – la pandémie liée au coronavirus est vécue différemment à travers le monde. L’offre des services divins par téléphone et par vidéo est, quant à elle, maintenue.

Jésus buvait du vin et Jean-Baptiste était un ascète. Aucun des deux ne peut donc être un envoyé du Seigneur ?! Au contraire, et les œuvres de Jésus le prouvent. Et quiconque suit le chemin montré par Jésus a des raisons de se réjouir.

Bien sûr, les Églises reconnaissent les baptêmes les unes des autres, même si cela a pris plusieurs siècles. Car la question des sacrements est étroitement liée à chaque conception de l’Église. Et elles ont néanmoins réussi à adopter des documents solides.

La prière du « Notre Père » a 2000 ans et est considérée comme la prière centrale des chrétiens. Jusqu’à ce jour, elle occupe une place prépondérante dans les Saintes Écritures ainsi que dans les communautés chrétiennes du monde entier. Quelles en sont les déclarations ?

Tout a commencé avec une seule personne, une femme, qui voyageait au Danemark, et qui est devenue néo-apostolique à cette occasion. Il y a cinquante ans, cette sœur n’a pas gardé sa foi pour elle, mais a parlé de Jésus et des apôtres vivants à son entourage en Inde. En dépit des nombreux obstacles qu’ils rencontrent, quelque 45 000 chrétiens néo-apostoliques vivent aujourd’hui en Inde.

Confinement, interdiction de se réunir, absence de services divins – dans de nombreuses régions du monde, les croyants ne peuvent pas se réunir à l’église. Mais ils peuvent continuer à bénéficier de l’offre des services divins vidéo.

L’Église néo-apostolique de Bad Schwalbach : un édifice religieux inhabituel L’édifice est consacré comme église anglicane en 1875 ; 54 années plus tard, les anglicans quittent leur chapelle. Acquis par l’Église néo-apostolique en 1957, il lui sert encore aujourd’hui de lieu de culte.

Offrir des soins pastoraux : qui peut le faire ? – réflexions sur la motivation, la préoccupation et le rôle du mandat ministériel dans la pastorale.

Aucune compétence technique n’est transmise lors d’une ordination dans un ministère spirituel ou d’une installation dans une charge en vue d’un service ; au contraire, ces compétences devront être acquises au fil du temps. Néanmoins, l’Église souhaite soutenir et guider ses ministres et moniteurs/monitrices dans leurs tâches. Les Églises territoriales abordent cette tâche en partie de manière similaire, mais en partie aussi de manière complètement différente. Un bref aperçu :

Qu’est-ce ou qui est l’Église néo-apostolique ? En tout cas davantage qu’une seule Église ; il s’agit plutôt d’une communauté d’Églises indépendantes, juridiquement parlant. Qu’est-ce qui en fait une entité mondiale ?

Des services divins vidéo seront également diffusés depuis les deux pays d’Afrique centrale que sont le Nigeria et la Guinée équatoriale. Voici l’aperçu hebdomadaire qui comprend aussi les deux nouveaux venus.

Cela signifie « bonjour » en tongien, la langue des Tonga. Helen, âgée de 19 ans, de la communauté de Heide, et Silvan, âgé de 26 ans, de la communauté de Backnang (toutes deux en Allemagne), participent au programme « weltwärts » en Zambie, un service volontaire de développement. Ils rendent compte de leur séjour.

Être chrétien, c’est devoir traverser des tentations, des tribulations et des difficultés, a mis en évidence l’apôtre-patriarche lors d’un service divin. Cependant, le croyant n’a pas de crainte à avoir, car le Fils l’aidera, comme le Père l’a aidé.