Les ministres de l'Église néo-apostolique reçoivent, de la part de la Directrion de l'Église, des « Pensées directrices » pour chaque service divin, qui constituent un fil conducteur pour la prédication. Dans de nombreuses Églises territoriales, ces pensées paraissent sous la forme d'un fascicule mensuel, dans d'autres pays, sous celle d'un recueil annuel. Au cours du mois d'avril, du moins là où les Pensées directrices sont éditées mensuellement, c'est le Notre Père qui est au coeur des prédications.

Vaincre avec Christ : Quelles sont nos chances ? Qui est notre allié ? Et que faisons-nous si cela tourne mal ? L’apôtre de district Enrique Eduardo Minio (Argentine) nous donne quelques réponses.

La prédication – c’est bien davantage qu’un discours ayant un contenu religieux. Elle est l’assurance de la proximité de Dieu et de son secours. Elle est la proclamation et l’explication de la volonté divine. La prédication encourage, édifie, console et offre des perspectives.

Montrer Jésus comme une référence aux jeunes générations. Ne pas accabler les enfants de pressions que nous avons-nous-mêmes vécues. Répondre à l’abandon supposé de Dieu par sa propre expérience – Voici quelques pensées profondes de l’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider.

Pour de nombreux frères et sœurs, tenir son propre numéro de community entre ses mains est quelque chose de très particulier. Un nouveau numéro est à présent achevé et en route vers de nombreux pays et communautés.

Dans la plupart des cas, c’est un apôtre-patriarche qui rend visite à une communauté et qui prêche. Dans la communauté de Nordheide, ils étaient deux apôtres-patriarches : l’apôtre-patriarche actif prêchait, et l’apôtre-patriarche à la retraite tenait l’orgue. C’était un événement rare.

Le salut de ton âme est précieux. Du moins Dieu y a-t-il mis le prix fort. Et toi ? Quel prix a-t-il à tes yeux ? Voici quelques critères de valeur extraits d'un service divin de l'apôtre-patriarche.

La devise de l'année 2016 : Vaincre avec Christ ne constitue pas seulement le fil rouge des services divins successifs, elle continue aussi d'inspirer les fidèles, notamment les concepteurs parmi eux. En voici un aperçu intermédiaire en paroles et en images :

À la différence d’autres grandes religions, ce qui caractérise l’Église chrétienne, c’est la foi en la Trinité divine : le Père, le Fils et le Saint-Esprit. Les offices religieux au sein des Églises chrétiennes sont eux aussi trinitaires. Le service divin néo-apostolique débute de cette manière.

L’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider a développé un programme de consolation en plusieurs dimensions lors de son récent service divin à Berlin (Allemagne). Néanmoins : il ne suffit pas seulement de recevoir la consolation …

Bientôt, ce sera de nouveau le grand jour : de jeunes chrétiens se présenteront devant l'autel pour être confirmés. Juste avant la bénédiction, ils récitent un texte issu de l'ancienne Église, qui vaut la peine d'être approfondi.

Petite ou grande, le plus important, c’est qu’elle soit joyeuse. De nombreuses expériences de par le monde prouvent que la taille des communautés n’est pas toujours déterminante. Cette fois, notre voyage nous conduit de l’Asie vers le Brésil et l’Italie, en passant par l’Afrique.

Ce que la manne était au peuple d’Israël, la sainte cène l’est au chrétien néo-apostolique : une source de forces qui contient la vie et assure l’avancée vers le but. Voici quelques pensées issues d’un service divin de l’apôtre-patriarche.

Le premier service divin en faveur des défunts de cette année conduira l'apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider à Bielefeld (Allemagne). Là, dans la pointe nord-est de Rhénanie-du-Nord-Westphalie, ont eu lieu les premiers services divins néo-apostoliques dès 1868. nac.today dresse un portrait de ce bastion néo-apostolique.

Au fait, comment se déroule un service divin néo-apostolique ? Cette question est souvent posée, avant tout lorsque des invités doivent assister à un service divin à l'occasion d'un baptême ou d'une confirmation. Le déroulement liturgique d'un service divin au sein de l'Église néo-apostolique est le même dans le monde entier et pour tous les services divins.

Il existe des commémorations pour les proches défunts dans toutes les Églises – plus ou moins prononcées. Certaines communautés religieuses orthodoxes font une fête devant la tombe avec du pain et du gâteau, d’autres Églises célèbrent des offices de commémoration. L’Église néo-apostolique célèbre trois fois par an un service divin en faveur des défunts.

Là-bas, même à la saison des pluies, les fidèles se réunissent dans le stade pour le service divin. Ici, des centaines de fidèles reçoivent le sacrement du saint-scellé au cours d’un service divin, et, ici, beaucoup n’ont encore jamais vu l’apôtre-patriarche. Cela va changer ce week-end.

Nous nous rendons au service divin – comme beaucoup d'autres chrétiens également. Cela semble aller de soi. Mais, en fait, pourquoi ? Et qu'est-ce donc, au juste, que le service divin ?