L’été se prête le mieux aux journées de jeunesse. Celles-ci sont censées s’adresser à la jeune génération au sein de l’Église, avec de bonnes conditions climatiques et en proposant un programme varié – soit les meilleurs ingrédients pour passer quelques heures divertissantes.

Les États-Unis sont le théâtre de l’assemblée de la Pentecôte 2018. D’un point de vue historique, l’Église néo-apostolique y remonte presque aussi loin que ses racines européennes. Sur le plan technique, l’Église territoriale a mis le reste du monde dans l’image en mouvement.

Marie a vu le jardinier, les disciples d’Emmaüs ont vu un étranger. Mais ils l’ont reconnu à ses paroles et ses œuvres : Jésus et vivant ! Il est là et continue d’agir. C’est encore valable aujourd’hui. Il y a des témoins de cela. Mais qui sont-ils ?

L’école du dimanche, une évidence ? Pas en Afrique, où vivent près de 85 pour cent des membres de l’Église néo-apostolique. L’école du dimanche partout en Afrique, c’est officiellement tout un programme depuis 2015. Et comment se déroule-t-il ? Voici un exemple.

Avec 1,6 millions d’habitants, Barcelone est la seconde ville la plus importante d’Espagne, et la seconde mégapole la plus dense d’Europe. Le nombre de fidèles qui se retrouvent dans la Calle Reverendo José Bundo 14–18 le dimanche et le mercredi est, quant à lui, n’est pas très élevé.

La passion, l’enthousiasme, l’amour – pour Dieu et pour le prochain. Voilà ce qui motive les chrétiens à faire le bien et à s’investir pour la communauté.

« Credo – je crois » et « confessio – je professe ma foi » sont parfois deux choses différentes. Beaucoup gardent leur foi pour eux, notamment parce qu’ils ne savent pas la décrire précisément, ou parce qu’ils craignent de la rendre publique.

On célèbre un tombeau, mais un tombeau vide. Car ce vide cache un enseignement : Le Dieu colérique n’est plus, longue vie au Dieu aimant. Et cet amour donne la vie. Voici une approche quelque peu différente de la fête de Pâques.

Les événements survenus entre le dimanche des Rameaux et Pâques se lisent comme un roman policier : un homme est trahi, bafoué, arrêté puis tué. Jésus traverse l’enfer pour atteindre le ciel. Voici une chronologie issue de l’évangile selon Marc.

Certains ont déjà atteint leur but, d’autres sont encore en route. Des personnes qui veulent faire bouger les choses se mettent en marche.

Quiconque est convaincu par sa foi veut en témoigner. La profession de foi est la même ; les voies pour attirer l’attention sur la foi et l’Église diffèrent légèrement au fil du temps. Petite rétrospective en Europe.

Les visites prévues de l’apôtre-patriarche ou de l’apôtre de district déclenchent de la joie au sein des communautés, mais aussi une certaine frénésie. Est-ce que tout va réussir ? Les préparatifs sont-ils achevés ? Voici un petit aperçu.

La semaine qui précède la fête de Pâques est une alternance entre les hauts et les bas émotionnels : tantôt dans la joie, tantôt triste à en mourir. Avant que le chrétien ne puisse croire pour toujours à la résurrection, Jésus-Christ a dû aller sur la croix. La Passion : une semaine inoubliable pour le Seigneur.

Des peluches, une formation professionnelle, des instruments de musique … Il faut s’investir, faire preuve d’amour et parfois aussi de fantaisie pour faire le bien. Beaucoup l’ont prouvé et, ce faisant, ont rencontré des personnes hors du commun.

Pourquoi nous prions, et ce qui fait d’une prière une prière : ce sont les thèmes qu’ont traité les deux premières observations relatives à la prière. Dans la dernière partie, il est question des quatre aspects que l’on retrouve à la fois dans la prière publique et dans la prière privée.

Ils ne sont certes pas silencieux, mais travaillent en arrière-plan : les traducteurs et les interprètes font l’unité linguistique au sein de l’Église internationale. L’un d’eux vient de prendre sa retraite – une reconnaissance à l’occasion de la « Journée mondiale de la langue maternelle ».

Le fait d’être chrétien ne s’arrête pas à notre porte de l’église. C’est ce que démontrent les nombreuses rencontres entre les confessions à l’occasion de la semaine œcuménique de prière le mois dernier. Le fil conducteur était : différents, mais réconciliés.

Cette fois, l’apôtre-patriarche ne fera qu’un aller-retour de Zurich à Raipur, en seulement deux jours. Malgré cela, l’invité et ses hôtes sont dans la joie, car, premièrement, l’Inde vaut toujours le voyage, et, deuxièmement, l’apôtre-patriarche y est tout-à-fait bienvenu.