« Pas d'évolution, pas de rédemption ! » C'est ainsi que l'apôtre-patriarche résume la question de la foi. Mais pourquoi est-il parfois si difficile de mettre la parole de Dieu en pratique ? Et qu'est-ce qui rend les choses plus faciles ?

Karl Hartmann déménage, et Dieu est déjà là. Il en fait souvent l'expérience. Au lieu de se détendre et de profiter de la vie communautaire naissante, il y participe lui-même activement. Il y a cent ans aujourd'hui, il devenait apôtre de district.

Avec des dons en nature, des activités ou un déménagement vers l'autre hémisphère, il est possible de provoquer quelque chose. Des frères et sœurs d'Afrique et d'Europe viennent d'en faire à nouveau l'expérience. Tantôt ils produisent un sourire, tantôt une nouvelle communauté.

Ne pas se contenter de prêcher, mais agir. C'est l'appel qu'a lancé l'apôtre-patriarche aux ministres lors d'un service divin qu'il a célébré au Timor-Leste. Le service divin qui s'y rapporte recèle des pensées qui incitent à poursuivre la réflexion, et pas seulement pour les ministres ordonnés.

Pour trouver son équilibre intérieur, il faut répondre à deux questions : Qui suis-je ? Et : Que dois-je faire ? Ce qui est décisif, c'est celui qui donne les réponses – voici des indications tirées d'un service divin de jeunesse célébré par l'apôtre-patriarche.

On dit souvent que les jeunes sont l’avenir de l’Œuvre de Dieu ; mais ils ne sont pas les seuls, car chacun peut participer à la construction de l’Église de demain. Que ce soit avec des idées, avec un mandat ministériel ou avec un sourire, chacun peut contribuer à créer une communauté où il fait bon vivre.

Les souhaits et les besoins sont nombreux. Mais auxquels faut-il céder et auxquels ne faut-il pas céder ? C'est ce que l'apôtre-patriarche a mis en lumière lors d'un récent service divin. La référence en la matière : Dieu et les contemporains.

Partager, c’est communiquer : les photos ne conservent pas seulement les souvenirs ; elles peuvent aussi montrer et témoigner la foi. Mais on ne peut tout de même pas photographier pendant le service divin, si ? Peut-être que si, mais il faut savoir comment, dans ce cas – voici le début de notre série.

Le 14 juillet est un peu la fête apostolique. Mais son histoire réserve des surprises. En sa mémoire, l'Église néo-apostolique met cette année des accents tout particuliers.

Construire, transformer, reconstruire : certes, la foi n'a pas forcément besoin d'un toit, mais lorsque la maison de Dieu s'installe dans une église, c'est une raison de faire la fête – jetons un regard sur les communautés du monde entier.

L'univers des défunts, l'apostolat, la régénération d'eau et d'Espri : Les services divins dominicaux du mois de juillet seront consacrés à des thèmes néo-apostoliques fondamentaux, mais il y aura aussi des surprises.

Il semble d'abord cassant, noueux, presque rude. Mais son cœur est encore plus grand que sa stature. Ce week-end, un homme remarquable – et pas seulement d'un point de vue physique – sera admis à la retraite : l'apôtre de district Rainer Storck.

Thomas devait toucher les plaies de Jésus, d'autres n'avaient pas le droit de toucher le Ressuscité. Certains ont reconnu le Seigneur immédiatement, d'autres seulement lors de certains actes. À Pâques, l'apôtre-patriarche a expliqué les contradictions de l'histoire de la résurrection.

Avant le service divin de Pentecôte retransmis dans toute l'Europe, les frères et sœurs ont eu la possibilité de faire un peu mieux connaissance avec les responsables de l'Église internationale avant les services divins en semaine – voici un petit aperçu des nombreuses rencontres.

Qu'est-ce qu'un apôtre ? Que signifie apostolique ? Et pourquoi est-ce important pour toutes les Églises chrétiennes. C'est la question que pose la journée commémorative que les anglicans, les catholiques, les orthodoxes et les protestants célèbrent le 11 juin, la fête de Saint Barnabé.

Il y a 125 ans, l'apôtre-patriarche Friedrich Krebs ordonnait comme apôtres deux hommes qui s'étaient déjà distingués dans la jeune Église. Outre leur ministère, les deux hommes avaient des points communs qui ont encore des répercussions aujourd'hui.