« Je pense à toi, tu n’es pas seul. » C’est ce que veulent exprimer les veillées religieuses. Et elles laissent en même temps un souvenir : « Penses-y, ne l’oublies pas ! » Ce sont des messages précieux, surtout en ces temps de coronavirus. Et la direction de l’Église souhaite les partager.

Vivre, travailler et vivre sa vie de foi en Malaisie : c’est ce que relate l’évangéliste Loganathan Ramaurty Lawrence (51 ans), le conducteur de la communauté de Kuala Lumpur. Et il nous dévoile ce qui lui donne les forces pour son engagement.

Peu importe la puissance du mal : il y en a toujours un capable de délivrer et même d’arracher le butin au plus grand fauve. Pourtant, même lui n’est pas tout seul à tout faire – comment Jésus-Christ compte sur chaque fidèle individuellement.

Faire de la couture, faire des courses ou mettre en ligne des vidéos : en période de crise liée au coronavirus, de nombreuses personnes recherchent la communion. Les membres de l’Église néo-apostolique organisent diverses actions à travers le monde pour venir en aide à leurs contemporains malgré les mesures de confinement. En voici un petit aperçu.

En 2008, l’organisation caritative « NAK-karitativ » et l’Église néo-apostolique de São Tomé-et-Príncipe (Accao de Igreja Nova Apostolica de Caridade) avaient soutenu financièrement la construction d’un centre de santé sur le petit État insulaire africain. L’unité dentaire intégrée dans le centre de santé vient d’être dotée d’une unité de radiologie.

Pâques est « la fête de la consolation et de l’espérance » : ce ne sont pas là des paroles vaines exprimées par l’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider. Il souhaite également envoyer un signal fort, au moyen d’un service divin au niveau mondial.

Pour les quatre jeunes hommes originaires de Bavière, en Allemagne, le week-end dernier n’a pas vraiment été de tout repos. Et le week-end à venir ne sera pas mieux. Ils ne sont cependant pas les seuls à s’investir de toutes leurs forces pour une vie de communauté en temps de crise liée au coronavirus.

« Vis de façon à te faire questionner au sujet de ta foi » – c’est ce que souhaite Miriam Rudolph, de Hanovre (Allemagne) dans sa vie privée et professionnelle. Et c’est également ce dont elle répond sur des milliers d’affiches.

Même lorsque l’événement ne fait plus la une des actualités, « NAC SEA Relief » reste active sur place après les catastrophes. Dans son rapport annuel 2019, l’organisation d’aide humanitaire d’Asie du Sud-Est jette un regard rétrospectif sur une intervention particulière bien au-delà des frontières habituelles.

Clôture après douze ans d’activité : fin novembre 2020, le réseau social « nacworld » sera mis hors ligne. Pourtant, cela ne signifie pas que l’Église néo-apostolique se retire de ce domaine – comment les anciens et les nouveaux médias sont renforcés.

Faire, tout simplement faire – ensemble. Telle est la formule gagnante de « Facteur G ». Ce projet musical réunit des jeunes handicapés et non handicapés pour former une même équipe qui ne s’amuse pas elle-même et procure de la joie à autrui.

Trois idées de la liberté, mais une seule conduit au but. Laquelle, et comment ? C’est ce qu’a expliqué l’apôtre-patriarche lors d’un service divin de jeunesse, où il était plutôt question de la vie concret au quotidien que de théorie théologique.

Silence, on tourne : l’apôtre-patriarche n’est pas le seul à s’adresser aux frères et sœurs au moyen d’une vidéo à l’occasion de la nouvelle année. C’est un moyen de plus en plus apprécié aussi parmi les apôtres de district – rétrospective.

Dans la foi comme dans la vie, chacun doit trouver sa propre voie : cette expérience est relatée dans un film tourné par des jeunes d’Allemagne orientale – un film qui a raté sa première à trois reprises.

Les voyages dans les différents pays peuvent être fatigants, en particulier lorsque l’apôtre de district responsable a annoncé sa visite et que les communautés sont éloignées les unes des autres. L’évêque Manfredo Stegmann relate l’un de ces week-ends en compagnie de l’apôtre de district Leonard Kolb en Colombie et au Pérou.

Faire une rétrospective – seulement pour soi ou plutôt dans un plus grand cercle ? « Nous le faisons ensemble au sein de la communauté », s’est exprimé l’apôtre-patriarche Schneider. Invitation à la réflexion et à la reconnaissance.

De par leur définition, les chrétiens ne sont pas des combattants solitaires. Et on le retrouve régulièrement au cours d’une semaine – sur tous les continents, dans des milliers de communautés.

La vie présente de nombreux défis. Les chrétiens y font face avec confiance en Dieu et amour du prochain. Et cela est visible dans la pratique, dans l’aide au prochain, dans la reconstruction et dans la persévérance.