La phase d’inscription aux Journées internationales de la Jeunesse de l’année à venir a enfin commencé. Près de 30.000 jeunes sont attendus sur le site de la Foire internationale à Düsseldorf, venus de nombreux pays pour passer quatre jours ensemble.

Apprendre ensemble, apprendre les uns des autres : l’on avance mieux ensemble, même lorsqu’il s’agit de nouvelles connaissances ou de nouveaux savoir-faire. C’est ce que vivent, au même titre, les musiciens et les enseignants, qu’ils soient originaires d’Amérique du Sud, d’Europe centrale ou d’Afrique occidentale.

La communauté à Hong Kong est aussi petite que colorée. Mercredi prochain, elle vivra un service divin historique. Et ce n’est pas seulement lié à la visite de l’apôtre-patriarche ce jour-là.

« C’est la même chose partout, c’est juste différent » – cette ancienne citation de l’apôtre-patriarche Hans Urwyler se vérifie régulièrement. Dans notre regard sur le monde, nous irons d’Europe en Asie, et d’Asie en Amérique du Sud.

Il y a exactement trois mois de cela, l’apôtre de district suisse Jürg Zbinden s’était vu confier sa nouvelle mission. Qu’est-ce qui a changé pour lui durant cette période ? nac.today s’est entretenu avec lui.

Les bancs de l’église sont à moitié vides, les communautés fusionnent et il n’y a plus d’enfants depuis longtemps – faut-il attendre qu’intervienne un changement avec tristesse et sans bouger ? Comment ramener la vie au sein de la communauté ? Et comment une communauté naît-elle ?

La jeunesse et la foi s’associent bien. Et lorsque la culture locale est aussi de la fête, c’est encore mieux. Voici un caléidoscope multicolore d’idées venues d’Asie, d’Afrique et d’Amérique du Sud.

Les Journées internationales de la Jeunesse (JIJ) 2019 débuteront d’ici une bonne année. C’est là un long laps de temps pour des jeunes qui passent leur bac, entrent dans la vie active ou commencent une colocation, mais c’est, en revanche, une période très courte pour la planification d’un grand événement censé enthousiasmer plus de 30 000 participants.

Le week-end prochain, l'apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider effectuera son 22e voyage à l'étranger, qui le conduira dans le Nord de l'Europe orientale. Quelque 3 500 fidèles l'attendent en Lituanie et en Lettonie.

Elle fait partie des plus anciennes communautés au sein de l’Église néo-apostolique. À peine cinq ans après le 150e anniversaire de l’Église internationale, cet honneur revient désormais à deux communautés de Bielefeld : Bielefeld et Quelle.

Les ambassadeurs sont en route. Et la base se met en mouvement : aux quatre coins du globe, les préparatifs en vue des Journées internationales de la Jeunesse (JIJ) 2019 attirent l’attention. Voici quelques exemples en provenance d’Afrique, d’Asie et d’Europe.

Que serait l’Église sans sa jeunesse ? Une Église sans avenir ! L’apôtre-patriarche et les apôtres de district soulignent sans cesse l’importance des offres destinées aux jeunes. Qu’est-ce que cela signifie concrètement ? Quelles sont ces offres ?

Dans la doctrine néo-apostolique, l’apostolat tient une place particulière. Lorsque le nombre des Douze est né, le 14 juillet 1835, dans le cercle des apôtres de l’Église catholique-apostolique, la pensée apostolique a redémarré. Jusqu’à aujourd’hui. Cela doit être visible dans la vie de la communauté.

Au cours du premier semestre 2018, l‘apôtre-patriarche Schneider a ordonné neuf apôtres, nommé un apôtre de district adjoint et mandaté un apôtre de district. Sept apôtres ont été admis à la retraite.

« Rapproche-toi ! – Non, pas avec la caméra, avec le zoom », commande Tim Schaefer-Rolffs à l’attention du caméraman avec la veste noire. Celui-ci s’est cependant déjà élancé et se trouve à présent directement devant l’autel.

Les défis sont clairs, les objectifs sont définis. Cependant, quels moyens sont-ils nécessaires pour y parvenir ? Et qu’est-ce qui est différent aujourd’hui par rapport à autrefois ? La dernière partie de l’interview de l’apôtre-patriarche donne un aperçu de la façon dont l’Église s’organise pour l’avenir.

Il est le visage de l’Église néo-apostolique sur l’île de Cuba, dans la mer des Caraïbes, un journaliste doté d’une grande lucidité et d’un grand cœur : l’évêque Alex Michel Reyes Martinez fait du bien à l’Église. Voici un portrait.

Il n’existe pas de recette miracle. Les défis et les cultures au sein de l’Église mondiale sont trop différents pour cela. La seconde partie de l’interview de l’apôtre-patriarche propose un début de solution : se concentrer sur l’essentiel – qui est ?