Que serait l’homme sans espérance ? C’est pourquoi il est essentiel de savoir ce que l’on doit espérer. Selon l’apôtre-patriarche : « L’Esprit-Saint suscite et nourrit notre espérance en la vie éternelle. Nous attendons le retour du Seigneur et persévérons dans la confiance et l’amour. »

Il existe des moments, dans la vie de foi, où le ciel et la terre se rencontrent. Ces moments sont si importants qu’ils portent leur propre nom : les sacrements. Qu’est-ce que cela ? D’où viennent-ils ? Qu’apportent-ils ? – Cet article marque le début d’une nouvelle série.

Le berger e.r. Christoph Müller porte un regard tout particulier sur la fête de la sainte cène. En effet, une grande partie des calices contenant les hosties proviennent de l’usine dans laquelle travaille le maître emboutisseur.

« Nous devons veiller à ce que cela ne nous arrive pas », est l’appel lancé par l’apôtre-patriarche Schneider. C’était une prédication sur le thème des pièges qui néanmoins encouragent … et pas seulement les frères du ministère.

La vie présente de nombreux défis. Les chrétiens y font face avec confiance en Dieu et amour du prochain. Et cela est visible dans la pratique, dans l’aide au prochain, dans la reconstruction et dans la persévérance.

Dès le début de la nouvelle année, le président international de l’Église se rendra en Angola. Deux étapes inconnues l’attendent à Nzagi et Dundo, deux villes au nord et au nord-est du pays. Voici quelques impressions.

Les signes des temps sont effrayants ? Par conséquent, le retour de Christ est proche ? L’apôtre-patriarche y répond dans sa récente lettre doctrinale : de telles tentatives d’interprétation sont vouées à l’échec – en voici un condensé.

Nouvelle année, nouvelle chance. L’année 2020 sera-t-elle une « année de grâce » ? Oui, car la grâce signifie que l’on peut expérimenter la communion avec Jésus-Christ. Et, auprès de lui, il y a beaucoup de grâce – pour tous.

Noël, le temps des cadeaux ; la nouvelle année, une raison de faire la fête : c’est également de cette manière que se présente l’Église néo-apostolique à travers le monde – découvrez à qui sont destinés les cadeaux et quelles sont les raisons de faire la fête.

La parution du tout dernier numéro du magazine « community » marque l’entrée dans sa sixième année de publication. Les grands thèmes abordés dans ce numéro sont : Ce qui rend réellement libre – ce que Dieu souhaite réellement – quand Christ reviendra.

Douze mois de l’année – douze messages de l’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider adressés à l’Église au niveau mondial. Tous ont été publiés dans le magazine néo-apostolique nac.today. Petit rappel pour les garder en mémoire.

L’année de la réforme de l’ordre ministériel : c’est ainsi que l’année 2019 entrera dans l’histoire de l’Église néo-apostolique. Derrière cela, néanmoins, il y a des choses beaucoup plus fondamentales. Et le thème reste d’actualité.

Au cours des six derniers mois, il n’y a eu que peu d’admissions à la retraite et d’ordinations dans le cercle des apôtres ; en comparaison, c’était un semestre plutôt calme, marqué par la continuité. Actuellement, 349 apôtres sont en activité dans le monde.

Célébrer les services divins et entretenir la communion, faire de la musique et aider son prochain – sur tous les continents, on retrouve une vie de communauté active. Petit tour d’horizon dans différents pays.

« Mais où donc est votre Dieu maintenant ? » – Les moqueurs utilisent volontiers ces mots pour s’attaquer aux croyants lorsqu’ils vont mal. C’est un Psaume bien connu qui donne la réponse – ce que nous dit cet hymne de louange aujourd’hui.

Élu et appelé : cependant, le pouvoir à lui seul ne suffit pas pour pouvoir effectivement exercer un ministère. Il faut également quelque chose qui joue un rôle au moment de la retraite ou d’un changement de domicile.

Le serviteur fidèle, le Rédempteur promis et maintenant, l’homme parfait. Voici la troisième de quatre réponses à la question de « maranatha » de l’Avent : Qui est donc vraiment notre Seigneur, qui vient ?

Lorsque l’apôtre-patriarche célèbre un service divin à Mulhouse (France), il est presque comme « dans son salon ». Il avait emporté de la consolation en abondance, et a encouragé les fidèles.