Son plus grand souhait semblait inaccessible, mais Ashley-Ann a trouvé de l’aide de façon inattendue : comment la jeune Sud-Africaine handicapée est arrivée aux Journées internationales de la Jeunesse avec le soutien de motards allemands.

La forme suit le contenu : Lorsque l’hostie tamponnée évince la coupe de vin, lors de la sainte cène, un changement se met également en marche en ce qui concerne la forme des calices sur l’autel – jusqu’à obtenir une combinaison bien particulière.

Dix jours en Asie : le voyage de l’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider en Birmanie et en Malaisie est un voyage particulier. De nombreux points sont au programme et l’attente des communautés est grande.

La foi unit l’homme à Dieu. Parfois, cette foi devient aussi visible en public. Nous jetons aujourd’hui un regard sur un camp de réfugiés, un mur d’église lumineux et un cercle de travail intense.

Davantage qu’un travail de fond théologique ou qu’une gestion structurelle : la réforme de la définition du ministère a une utilité très concrète – pour la direction de l’Église, pour les frères du ministère et pour chaque membre individuel de l’Église.

Il les appelle ses frères et sœurs et veut tout partager avec eux : Jésus-Christ aime les hommes. Quiconque se laisse sanctifier et se sanctifie lui-même peut en faire l’expérience. Comment ? Il le démontre lui-même en tant que modèle.

Quatorze ans en tant qu’apôtre de district ‒ dans une interview, Charles Ndandula, l’apôtre de district sortant de la Zambie, du Malawi et du Zimbabwe dresse le bilan avec reconnaissance.

Il y a 140 ans, le 19 octobre 1879, Frederik Lodewijk Anthing a été ordonné dans l’apostolat à Amsterdam par l’apôtre Schwarz. C’était le signal du départ pour la mission néo-apostolique dans l’actuelle Indonésie.

Pour beaucoup, la chasse au trésor est un rêve d’enfant. Mais dans les prédications religieuses, il ne s’agit pas de trésors terrestres. Il était donc évident que l’apôtre-patriarche fasse référence aux richesses spirituelles au cours du service divin qu’il a célébré à Ndola.

Reconnaître et remédier à la détresse du prochain, prier et faire de la musique ensemble et honorer Dieu – tel est le programme hebdomadaire de nombreux chrétiens. C’est pour cette raison qu’ils se mettent en route pour faire bouger les choses.

Les apôtres ont-ils seulement le droit de transformer la structure ministérielle ? Ils n’en ont pas seulement le droit, c’est aussi leur devoir. Découvrez ci-après pourquoi et quelles sont les limites : le ministère entre passé et avenir.

Imaginez que vous soyez invité à un grand festin et que vous décliniez l’invitation. La fête a lieu malgré tout, mais vous manquez quelque chose. Voici quelques pensées intéressantes issues d’une prédication de l’apôtre-patriarche à São Paulo.

Lorsque le président international de l’Église se rendra au Liberia le week-end prochain, ce sera la première visite d’un apôtre-patriarche dans le pays. Les communautés et les frères du ministère responsables se réjouissent et sont impatients dans la perspective de cette visite.

Les idées créatives ont besoin de place, car elles doivent grandir. Ce n’est pas toujours facile, et, parfois, c’est un travail de longue haleine. Mais à la fin, il y a la joie d’avoir obtenu quelque chose de bien. Voici trois propositions :

Dieu est tout-puissant, il est éternel et trine. Cette croyance est décrite en détail depuis plusieurs siècles dans les professions de foi. La foi en le retour de Jésus-Christ peut, elle aussi, unir les chrétiens d’aujourd’hui.

Le Saint-Esprit agit puissamment dans les communautés, aussi bien au sein de l’Église de Christ que dans chaque croyant. C’est ce que rappelle l’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider dans son dernier Éditorial adressé aux communautés.

Des mauvaises herbes ou du blé ? Si seulement on le savait toujours d’avance. Parfois, cela n’apparaît que plus tard en voyant ce qui commence à pousser. C’est ce dont il est question dans les prédications néo-apostoliques du mois d’octobre.

Devant l’église néo-apostolique de Besigheim (Allemagne méridionale), un « Stolperstein » rappelle la mémoire de Frida Dippon. Elle était l’épouse de l’ancien conducteur de la communauté et a été assassinée en 1940 dans le cadre du programme d’euthanasie mis en place par les nazis.