Seuls quelques siècles calmes ont été accordés à la confirmation catholique en tant que sacrement. Puis, les réformateurs sont venus pour ramener l’initiation chrétienne au seul baptême – en instituant tout de même leur propre confirmation.

Lever les yeux vers le Seigneur, c’est le moyen de choix lorsqu’il s’agit de la délivrance et du salut de l’âme. Cela ne met certes pas fin aux souffrances terrestres, mais crée le salut pour l’éternité, a confirmé l’apôtre-patriarche.

Même en période de pandémie de coronavirus, les détresses des autres ne sont pas oubliées. C’est ce que montre le rapport annuel 2020 de « NAK-Humanitas ». Même en ces temps difficiles, les donateurs n’ont pas laissé tomber la fondation.

La session d’automne de l’assemblée des apôtres de district s’est achevée. Les thèmes les plus marquants étaient la définition du ministère, les questions d’auteurs bibliques et les nouvelles directives pour les frères du ministère.

Zéro tolérance : c’est la position que défend l’Église néo-apostolique face aux abus et aux agressions sexuels. L’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider l’a clairement exprimé dans le cadre de l’Assemblée des apôtres de district à Zurich (Suisse).

Le connaisseur de vin français se rend en Allemagne, où il ne se voit offrir que de l’eau. C’est avec aisance que l’apôtre-patriarche prononce son message aux fidèles – en trois langues : l’allocution du nouvel an 2022 de l’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider est en cours d’enregistrement.

Liens YouTube modifiés, services divins les jours de fêtes religieuses – chaque vendredi, « nac.today » propose un aperçu actualisé des services divins vidéo centraux.

Presque partout, la troisième vague de la pandémie a encore une forte emprise sur le monde. Mais elle ne peut empêcher les croyants de continuer à bâtir la communion. Voici quelques bonnes nouvelles en provenance du monde néo-apostolique.

Ne regardons pas toujours les chiffres, met en garde l’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider. Ce qui est courant pour l’homme moderne est inadapté pour la diffusion de l’Évangile. Dieu perfectionne son Église à travers des hommes imparfaits.

Depuis 2015, des membres de l’Église néo-apostolique regardent en dehors des panneaux d’affichage à l’entrée des églises. À partir de l’année prochaine, on y verra toujours des frères et sœurs, mais seulement sous forme de silhouettes. Le chef de projet nous en explique l’idée.

La régénération d’eau et d’Esprit : ce qui a commencé comme un seul rite en deux parties s’est développé pour former deux sacrements indépendants. L’élément déclencheur était le succès écrasant du christianisme.

La pandémie liée au coronavirus tient toujours le monde en haleine. Cependant, l’aide est également nécessaire dans d’autres domaines. Des frères et sœurs en la foi s’engagent partout dans le monde avec leurs moyens.

Jésus est venu pour délivrer les gens du mal. Lorsqu’il est parti, il a envoyé les apôtres pour transmettre son message. Et, aujourd’hui, chaque chrétien est envoyé par Jésus pour témoigner de son amour.

Dans son épître à l’Église de Corinthe, Paul utilise des arguments tranchants. Il le fait parce que les gens ont du mal à penser au-delà de leur horizon. « Regarde au-delà de l’horizon de ton entendement », dirait-il aujourd’hui. Et il aurait raison !

L’Église néo-apostolique diffuse des services divins en direct par streaming sur tous les continents. Les membres de l’Église et les personnes intéressées sont cordialement invités à ces fêtes publiques sur YouTube.

Événements pour les confirmands, journées de jeunesse, réunions de jeunesse : de nombreux jeunes se retrouvent, malgré la pandémie du coronavirus, pour s’amuser ensemble, expérimenter leur foi ou pratiquer le bien. Regard vers ceux qui contribuent à façonner l’avenir de l’Église.

« Il n’est pas écrit dans le calendrier : Aujourd’hui, tu dois remercier Dieu. La reconnaissance n’est pas un devoir. » Il s’agit plutôt d’un effet de la foi. Croire que Dieu est grand rend reconnaissant, s’est exprimé l’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider.

Ne pas exclure ni condamner, mais regarder l’âme – c’est l’appel lancé récemment par l’apôtre-patriarche. La vérité, cependant, est parfois très différente. C’est ce qu’a vécu Sandra. Son problème : qui elle aime et comment les autres le gèrent.