Un récit avec trois significations : un signal pour le monde, un réconfort pour beaucoup et une exhortation à l’ensemble de l’Église. Analyse de l’apôtre-patriarche du récit de la veuve de Naïn.

Dieu veut que nous nous prononcions en sa faveur. Pour cela, il faut une « dynamique spirituelle », une volonté déclarée de changer. Voici quelques pensées de l’apôtre de district Mark Woll, du Canada, sur le thème de la devise annuelle.

Clôture après douze ans d’activité : fin novembre 2020, le réseau social « nacworld » sera mis hors ligne. Pourtant, cela ne signifie pas que l’Église néo-apostolique se retire de ce domaine – comment les anciens et les nouveaux médias sont renforcés.

Un nouveau virus qui s’attaque aux voies respiratoires se propage et inquiète l’humanité. Ce qui conduit à réfléchir à nouveau aux mesures d’hygiène bien connues tel que le fait de se laver les mains. Cependant, il faut aussi garder à l’esprit la santé spirituelle.

Il était un conservateur qui mettait tous ses dons avec force au service de la mission « Perfection » : l’apôtre de district Arno Steinweg. Le 28 février, il aurait fêté son 100e anniversaire - un portrait.

Trois idées de la liberté, mais une seule conduit au but. Laquelle, et comment ? C’est ce qu’a expliqué l’apôtre-patriarche lors d’un service divin de jeunesse, où il était plutôt question de la vie concret au quotidien que de théorie théologique.

Jésus rend libre – mais que se passe-t-il lorsque l’homme ne se rend pas compte qu’il est toujours lié ? Lié par des pensées ou par des préjugés. Voici quelques réflexions faites par l’apôtre de district John Kriel, d’Afrique du Sud.

Silence, on tourne : l’apôtre-patriarche n’est pas le seul à s’adresser aux frères et sœurs au moyen d’une vidéo à l’occasion de la nouvelle année. C’est un moyen de plus en plus apprécié aussi parmi les apôtres de district – rétrospective.

Aucun service divin ou presque qui n’aborde ce thème : deux royaumes qui se font face, l’opposition classique du bien et du mal. L’apôtre-patriarche Schneider nous montre une issue pour sortir de ce dilemme.

L’amour, le retour à la maison, l’héritage, la responsabilité, la maîtrise : ce sont cinq libertés que Jésus-Christ tient à notre disposition. À Nzagi (Angola), l’apôtre-patriarche en a présenté la clé. Celle-ci s’appelle : être un enfant.

Le temps entre la naissance et la mort est rempli d’expériences. Le chemin de la vie est jalonné de multiples étapes : d’allées en venues, de devenir en disparition, des premières aux dernières – tout cela constitue la vie.

Faire une rétrospective – seulement pour soi ou plutôt dans un plus grand cercle ? « Nous le faisons ensemble au sein de la communauté », s’est exprimé l’apôtre-patriarche Schneider. Invitation à la réflexion et à la reconnaissance.

Dieu n’exclut personne, il ne rejette personne. Au contraire : il aide, soutient, accepte. – Dieu est un Dieu pour toi, tes amis et tes ennemis.

« Dieu est avec toi dans tout ce que tu vis ! » – C’est pour démontrer cela que Dieu, le Fils, a été incarné. Or, ce n’était que le début. Car Jésus-Christ nous démontre encore bien davantage : le chemin qui mène à la proximité parfaite et éternelle.

D’un point de vue humain, la liberté illimitée est inatteignable. La liberté sans limites n’est possible qu’à travers Jésus-Christ. Voici quelques pensées relatives à la devise de l’année 2020 de l’apôtre de district Rüdiger Krause (Allemagne nord-orientale) :

Que serait l’homme sans espérance ? C’est pourquoi il est essentiel de savoir ce que l’on doit espérer. Selon l’apôtre-patriarche : « L’Esprit-Saint suscite et nourrit notre espérance en la vie éternelle. Nous attendons le retour du Seigneur et persévérons dans la confiance et l’amour. »

Dieu est juste ? Alors que certains se portent si bien, tandis que d’autres vont si mal ; alors que les uns sont élus, tandis que les autres ne le sont pas ? Comment peut-on concilier tout cela ? La réponse, c’est : la grâce pour tous.

L’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider a célébré le service divin à l’occasion de la nouvelle année 2020 à Neuchâtel, la capitale francophone du canton suisse de Neuchâtel. Le message était le suivant : « Christ rend libre ! »