Des services divins sont diffusés le matin, à midi et le soir. Le dimanche, ceux qui le souhaitent peuvent suivre des services divins presque 24 heures sur 24. Grâce à YouTube, à l'IPTV et à la transmission téléphonique, il est toujours l'heure de la parole de Dieu.

Cela va de soi : Jésus est la lumière du monde. Néanmoins : Les croyants aussi doivent faire briller sa lumière - jusque dans l'au-delà. Comment ? C'est ce que l'apôtre-patriarche a mis en lumière lors d'un récent service divin.

Dans presque tous les pays du monde, des frères et sœurs sont à l'œuvre pour diffuser des services divins par Internet ou par téléphone. Un seul continent reste exclu des diffusions effectuées par l'Église néo-apostolique : l'Antarctique.

Quiconque veut servir Dieu et entrer dans son royaume doit être sanctifié à cet effet. Bien sûr, cette sanctification vient de Dieu. Mais elle ne fonctionne pas sans intervention personnelle. L'apôtre-patriarche a expliqué ce que cela signifiait au cours du service divin.

Vie de la communauté, doctrine de l'Église, pages dédiées aux enfants : le nouveau numéro de « Community » est à nouveau plein de sujets passionnants. Le deuxième numéro du magazine des membres de cette année emmène notamment ses lecteurs au Brésil et en Afrique du Sud – et reprend le service divin complet relatif à la devise de l'année 2023.

À partir du 16 mars 2020, aucun service divin ni autre offre ecclésiastique ne devait avoir lieu en raison de la pandémie liée au coronavirus. Dès le 22 mars, cependant, des services divins ont eu lieu, que l'on pouvait suivre de chez soi via IPTV, YouTube ou par téléphone. L'offre est toujours disponible aujourd'hui.

« Je suis l'Éternel, ton Dieu ». Jusque-là, tout le monde connaît. Mais de qui s'agit-il exactement ? « Notre Dieu est le Dieu que nous pouvons découvrir par Jésus-Christ », s'est exprimé l'apôtre-patriarche en montrant ce que cela signifie.

Deux mois après le tremblement de terre dévastateur en Turquie et en Syrie, l'apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider se rendra dans la communauté d'Istanbul, en Turquie. Comment vont les gens sur place ? Et comment l'Église a-t-elle réagi à cette catastrophe ?

Pas moins de 830 lieux de réception ont suivi le service divin de Pentecôte 1990. Aujourd'hui, ces chiffres nous font gentiment sourire. Pendant la pandémie liée au coronavirus, ils ont été largement multipliés. Aujourd'hui encore, les taux d'audience sont élevés.

Régner avec Christ, c'est être maître de sa propre destinée. Jésus en a donné l'exemple. Lors d'un service divin, l'apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider a expliqué de quelle manière la vie de Jésus peut être un exemple pour les croyants aujourd'hui.

Servir avec Christ, c'est clair, mais cette idée de régner donne quelque peu du fil à retordre à certains chrétiens néo-apostoliques cette année. Dans son article de la série « Pleins feux... », l'apôtre de district Rüdiger Krause (Allemagne nord-orientale) explique l'idée de régner.

Le câble postal a marqué le début de cette évolution dans les années 1950. Puis, à partir de 1990, l'Église néo-apostolique a diffusé ses services divins par satellite. Et, depuis début 2022, les services divins sont diffusés via YouTube ou le portail IPTV de l'Église.

La toile, les applications et les imprimés sont autant de canaux de communication qui véhiculent les informations de nac.today. Pour autant, certains aimeraient encore les partager à leur manière. La démarche est-elle correcte ? La réponse à cette question est claire et s’accompagne de trois petites règles.

Une poignée de repas, une douzaine d'hommes fatigués et des dizaines de milliers de bouches affamées, voilà les ingrédients d'un miracle éloquent : il est question de parler et d'agir, de partager et de distribuer, de croire et d'aimer.

Configurer la connexion Internet, orienter les caméras. Manipuler la table de mixage. Pour que la parole de Dieu soit diffusée en direct, il faut faire un certain nombre de choses. C'est ce dont s'occupent d'innombrables bénévoles dans les communautés depuis la pandémie liée au coronavirus.

« C'est un super programme, n'est-ce pas ? » – C'est par ces mots que l'apôtre-patriarche Schneider a conclu sa récente prédication à Fellbach (Allemagne méridionale). Et quels sont les points de ce programme ? Ce sont les suivants : l'œuvre de la foi, le travail de l'amour et la fermeté de l'espérance.

Il existe une plaisanterie selon laquelle on reconnaît les églises néo-apostoliques à leur antenne parabolique sur le toit. Mais la chute est dépassée, car de nombreuses églises démontent leurs paraboles. Dans le futur, ce seront des routeurs wifi.

Un vrai serviteur de Dieu : voilà ce que l’apôtre-patriarche a dit de Josué, en le présentant comme un modèle. Ce que cet homme de l’Ancien Testament peut nous enseigner en rapport avec la devise de cette année « Servir et régner avec Christ ».