L’Église néo-apostolique de Bad Schwalbach : un édifice religieux inhabituel L’édifice est consacré comme église anglicane en 1875 ; 54 années plus tard, les anglicans quittent leur chapelle. Acquis par l’Église néo-apostolique en 1957, il lui sert encore aujourd’hui de lieu de culte.

Aucune compétence technique n’est transmise lors d’une ordination dans un ministère spirituel ou d’une installation dans une charge en vue d’un service ; au contraire, ces compétences devront être acquises au fil du temps. Néanmoins, l’Église souhaite soutenir et guider ses ministres et moniteurs/monitrices dans leurs tâches. Les Églises territoriales abordent cette tâche en partie de manière similaire, mais en partie aussi de manière complètement différente. Un bref aperçu :

Au cours du premier semestre 2020, l’apôtre-patriarche Schneider a ordonné trois apôtres, il a admis deux apôtres ayant atteint la limite d’âge à la retraite, et un apôtre est décédé au cours de son exercice ministériel.

Ce que les réfugiés ont besoin en urgence, outre de quoi manger et boire, des soins médicaux et un toit sur la tête, c’est l’espérance ! Et la perspective d’une patrie, d’amis et d’un sentiment de sécurité. Malheureusement, la réalité est très différente pour beaucoup d’entre eux. Voici un appel à la réflexion.

Une même foi, plusieurs chants : pour voir la diversité de la vie néo-apostolique aux quatre coins du monde, il suffit de rechercher « chorales virtuelles » sur YouTube – voici un tour d’horizon à travers le paysage musical.

Les circonstances sont inhabituelles, mais les premiers services divins en présentiel après le confinement dû au coronavirus procurent de la joie : le revoir dans les communautés et enfin à nouveau la sainte cène. L’apôtre-patriarche le relate également.

Engagé depuis 45 ans : l’histoire d’un manager originaire d’Allemagne qui aide les religieuses catholiques aux Philippines à sortir des dizaines de milliers d’enfants des quartiers pauvres.

Ce n’est pas tout de proposer des services divins en ligne : que deviennent les services divins et la vie de communauté durant la crise liée au coronavirus ? Au niveau local, très lentement et prudemment. Telle est la réponse des responsables des Églises territoriales néo-apostoliques en Europe.

À Lusaka et au Cap, les machines de cuisson sont à l’arrêt, et, à Bielefeld, on remplit les entrepôts. – En période de pandémie, la production est tout sauf normale dans les trois grandes fabriques d’hosties de l’Église néo-apostolique.

En temps normal, 60 000 communautés néo-apostoliques célèbrent des services divins le dimanche – mais c’était avant la crise liée au coronavirus. Au fil des semaines passées, l’offre a été réduite à deux douzaines de services divins centraux par vidéotransmission. À Pâques, il n’y aura qu’un seul service divin, célébré par l’apôtre-patriarche.

Des histoires issues de la Bible et des communautés ainsi que des aperçus de la doctrine de l’Église : 200 000 familles recevront le nouveau numéro de « community » dans les prochains jours. Voici aujourd’hui un premier aperçu préalable du numéro disponible en ligne.

Une communauté sans murs ni frontières – c’est ainsi que des centaines de milliers de familles néo-apostoliques ont vécu le dimanche écoulé. Même si les portes des églises étaient fermées, l’Église s’est montrée plus ouverte que jamais.

Il y avait un rêveur – il y a 60 ans de cela. Il était noir, et il est mort à cause de sa couleur de peau. Son nom : Dr. Martin Luther King. Son rêve était l’égalité entre les hommes. Et c’est toujours un rêve.

« Le photographe devrait être transparent pendant le service divin », relate le caméraman en Amérique du Sud. C’est un souhait que perçoivent les photographes dans le monde entier. Un livre électronique donne des conseils appropriés – maintenant aussi disponible en espagnol.

Silence, on tourne : l’apôtre-patriarche n’est pas le seul à s’adresser aux frères et sœurs au moyen d’une vidéo à l’occasion de la nouvelle année. C’est un moyen de plus en plus apprécié aussi parmi les apôtres de district – rétrospective.

Les voyages dans les différents pays peuvent être fatigants, en particulier lorsque l’apôtre de district responsable a annoncé sa visite et que les communautés sont éloignées les unes des autres. L’évêque Manfredo Stegmann relate l’un de ces week-ends en compagnie de l’apôtre de district Leonard Kolb en Colombie et au Pérou.

Une pensée, de nombreuses cultures – la diversité des idées concernant le logo relatif à la devise de l’année 2020, « Christ rend libre », est aussi multicolore que la vie. Ce qui est frappant, cette fois-ci, c’est que de nombreux dessins donnent des ailes graphiques à la devise.

Sur les îles Samoa, la nouvelle année avait déjà débuté mardi 31/12/2019 à 10 heures, selon le temps universel coordonné : GMT+14, tandis qu’à Londres, les bouchons de champagne ont à peine sauté mercredi 1er janvier à 0 heure. C’est la ligne de changement de date qui en est responsable !