La jeunesse et la foi s’associent bien. Et lorsque la culture locale est aussi de la fête, c’est encore mieux. Voici un caléidoscope multicolore d’idées venues d’Asie, d’Afrique et d’Amérique du Sud.

L’apôtre argentin Jorge Luis Franco (né en 1957) est facteur d’orgues et d‘harmoniums. La correspondante de nac.today, Viviana Aloy, l’a rencontré dans l’atelier propre à notre Église.

Notre vue d’ensemble hebdomadaire s’attarde sur trois histoires différentes en provenance de trois pays. Leur point commun, ce sont ces chrétiens néo-apostoliques qui appliquent leur foi en vue de rapprocher les êtres humains.

C’est une histoire bouleversante avec une fin heureuse, au double sens du terme : l’affaire de la tentative d’évasion de la prison et de la fête de minuit qui a suivi chez le directeur de la prison.

Les défis sont clairs, les objectifs sont définis. Cependant, quels moyens sont-ils nécessaires pour y parvenir ? Et qu’est-ce qui est différent aujourd’hui par rapport à autrefois ? La dernière partie de l’interview de l’apôtre-patriarche donne un aperçu de la façon dont l’Église s’organise pour l’avenir.

Il est le visage de l’Église néo-apostolique sur l’île de Cuba, dans la mer des Caraïbes, un journaliste doté d’une grande lucidité et d’un grand cœur : l’évêque Alex Michel Reyes Martinez fait du bien à l’Église. Voici un portrait.

Il n’existe pas de recette miracle. Les défis et les cultures au sein de l’Église mondiale sont trop différents pour cela. La seconde partie de l’interview de l’apôtre-patriarche propose un début de solution : se concentrer sur l’essentiel – qui est ?

Entretenir des contacts avec d’autres religions, familiariser les enfants avec les Saintes Écritures et prendre les précautions nécessaires pour les cas d’urgence – la vie de communauté ne se compose pas seulement de services divins et de musique. Petit aperçu sur trois continents.

Un amour du prochain par-delà les frontières : Notre petit tour du monde de la mise en oeuvre des projets éducatifs actuels de l'Église néo-apostolique nous conduit de l'Asie du Sud-Est en Europe, d'Amérique centrale et du Nord jusqu'à la pointe australe de l'Afrique du Sud.

« C’était une bonne idée », a résumé Esther Zbinden. « Et tellement symbolique ! ». Préparer des sacs à dos pour les enfants des réfugiés, c’est ce à quoi les épouses des apôtres de district se sont attelées pendant toute une matinée dans le cadre de l’assemblée des apôtres de district à Washington.

À l’Université, dans une zone de guerre et à l’église : la vie chrétienne trouve partout sa place. Parfois, ce sont les mots qui sont déterminants, une autre fois, c’est une main secourable. Petit aperçu hebdomadaire sur trois continents.

Située en peu en dehors de Washington, la Hylton Chapel offre un site idéal pour le premier rassemblement religieux américain ainsi que pour le service divin de ce dimanche. C'est là que, le samedi après-midi, se sont déroulées les conférences de l'ENA (NAC Talks).

Il pleut depuis des jours sur la capitale américaine.. Une vaste zone dépressionnaire a touché Washington. L'ambiance est toute autre au sein de l'assemblée internationale des apôtres de district : Les discussions se déroulent dans une ambiance joyeuse et chaleureuse.

« Le dernier mot revient à l‘apôtre-patriarche, confirme Erich Senn, le Directeur de l’administration ecclésiale internationale de Zurich. Il faut du temps, jusqu’à ce que tous les préparatifs en vue d’une assemblée internationale des apôtres de district soient achevés, et nous l’y aidons. »

Les États-Unis sont le théâtre de l’assemblée de la Pentecôte 2018. D’un point de vue historique, l’Église néo-apostolique y remonte presque aussi loin que ses racines européennes. Sur le plan technique, l’Église territoriale a mis le reste du monde dans l’image en mouvement.

Quelle est donc la capitale des États-Unis ? La majorité des gens répondrait New York. C’est la plus grande ville et la plus connue en Amérique du Nord, mais ce n’est néanmoins pas la capitale, qui est Washington. C’est ici qu’aura lieu cette semaine l’assemblée internationale des apôtres de district.

Banni de la table du Seigneur, exclu du repas de communion : cela a existé jusqu’au milieu des années 1980. C’est là qu’est arrivé l’apôtre-patriarche Hans Urwyler. Il a été admis à la retraite il y a 30 ans : petite rétrospective de son activité.

En tant que croyant parmi les non-croyants, sans éloges prématurés, parfois désavantagé puis enfin victorieux : l’histoire de Caleb dans le désert est une image pertinente pour le salut des chrétiens, a expliqué l’apôtre-patriarche Schneider.