Proclamer l’Évangile aux non-chrétiens et en même temps innover – c’est l’appel que lance l’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider dans l’article qui traite de l’universalité de l’Église et de l’Évangile.

Il y a plus de bonheur à donner qu’à recevoir – une parole biblique souvent pratiquée. Un regard sur les continents démontre que beaucoup de choses sont apportées : des talents, du temps, de l’argent – ce qui fait à chaque fois naître la joie et la reconnaissance.

Autres pays, autres mœurs, dit-on dans le langage populaire. En Argentine et au Brésil, les services divins de confirmation ont lieu traditionnellement le premier dimanche du mois de décembre. Cela dépend des vacances scolaires.

Près de 4 millions d’euros pour 100 projets dans 24 pays : tel est le bilan de l’organisation caritative « NAK-karitativ » pour l’année 2017. Le rapport annuel publié récemment relate quels sont les destins qui se cachent derrière ces chiffres.

Les milliers de communautés dans le monde ont des besoins très divergents. Les besoins au sein des communautés sont aussi différents que les habitants et les sociétés. En voici un petit aperçu :

La lecture des Saintes Écritures est essentielle pour les chrétiens. À l’avenir, c’est ce que vivront encore plus souvent les participants aux services divins néo-apostoliques. Les apôtres de district ont décidé trois changements lors de la session d’automne de leur assemblée.

Les Journées internationales de la Jeunesse 2019 seront emplies de musique : lors de l’événement majeur dans l’Arena, lors des concerts sur scène ou de manière toute spontanée à l’extérieur et dans les rues. Qu’est-il prévu ? Comment participer ? Nous avons interrogé l’évangéliste Jürgen Gerisch, du groupe de planification Musique des JIJ.

Un service divin en faveur des défunts au moment de l’anniversaire de la communauté ? Oui, c’est possible, du moins à Silvertown (Afrique du Sud). Car, là-bas, la joie et la tristesse sont très proches dans le cadre de cette commémoration.

Le voyage aura duré cinq jours. Une fois au but, ce ne sont pas 30 passagers fatigués et irritables qui quittent le car, mais des frères du ministère joyeux et enthousiastes qui se ruent dans les locaux dédiés au séminaire. Pourtant, ils traversent actuellement des temps difficiles dans leur pays d’origine.

Avant son mandatement officiel, le nouvel apôtre de district Peter Schulte avait déjà effectué sa première visite – auprès de communautés qui n’appartenaient même pas au champ d’activité de son prédécesseur. Et ce pour une bonne raison.

Le tronc d’offrandes numérique mis en place par l’Église néo-apostolique de Suisse porte le nom de « nac2give ». Certes, ce n’est pas la première application de ce genre, mais elle offre néanmoins une nouveauté : au sujet de l’offrande au XXIe siècle.

Lorsque les communautés argentines fêtent aujourd’hui un anniversaire, on entend souvent les noms de Gantner et Toplisek. En tant que prédécesseur et successeur, les deux amis et apôtres ont placé les fondements historiques. Où il est question d’un fromage fondu et d’une veuve, qui ont joué un rôle important.

Louer, partager, préserver – la fête d’actions de grâces se célèbre de diverses manières. Et les communautés tout autour du globe établissent leurs propres priorités. Cependant, toutes ne la célèbrent pas ce week-end.

Pour célébrer des services divins, il faut disposer de prêtres. Tel est le cas normal. Que faire, cependant, s’il n’y a pas de prêtre ? Espérer qu’un prêtre vienne. Et, parfois, ce genre de rêves se réalise.

Apprendre ensemble, apprendre les uns des autres : l’on avance mieux ensemble, même lorsqu’il s’agit de nouvelles connaissances ou de nouveaux savoir-faire. C’est ce que vivent, au même titre, les musiciens et les enseignants, qu’ils soient originaires d’Amérique du Sud, d’Europe centrale ou d’Afrique occidentale.

Un ami des hommes, un publiciste et un apôtre fondateur : Heinrich Bornemann est né il y a 160 ans. Les anecdotes qui gravitent autour de lui sont nombreuses – historique et histoires issues de la vie du « doux Heinrich ».

« C’est la même chose partout, c’est juste différent » – cette ancienne citation de l’apôtre-patriarche Hans Urwyler se vérifie régulièrement. Dans notre regard sur le monde, nous irons d’Europe en Asie, et d’Asie en Amérique du Sud.

Les bancs de l’église sont à moitié vides, les communautés fusionnent et il n’y a plus d’enfants depuis longtemps – faut-il attendre qu’intervienne un changement avec tristesse et sans bouger ? Comment ramener la vie au sein de la communauté ? Et comment une communauté naît-elle ?