Ces dernières semaines, la devise de l’année a été au centre des événements de jeunesse et des services divins pour enfants. De manière ludique ou dans le cadre d’ateliers, la jeune génération en Afrique, en Amérique, en Asie et en Europe a appris que la prière agit.

Avant de commencer, il y a eu un intermède choral spontané. Les jeunes américains, allemands et australiens qui avaient fait le déplacement pour la Journée panaméricaine de la jeunesse à Saint Catharines (Canada) étaient impatients d’être au début du service divin.

Ici, des services divins sont célébrés à plus de 4000 mètres d’altitude : peu de pays sont aussi proches du ciel. Mais la Bolivie a aussi des paysages très différents à offrir. Les membres de l’Église sont aussi diversifiés que le pays.

Les membres de différentes communautés en Afrique, en Europe et en Amérique ont eu de bonnes raisons de faire la fête ces dernières semaines. Les festivités se sont déroulées en musique, avec des représentations théâtrales ou lors d’une croisière en bateau.

Au Guyana, on est sollicité en tant que ministre ordonné – non seulement en tant que prédicateur et chargé de pastorale, mais aussi en tant que conducteur de bateau, enseignant et bâtisseur : les communautés de Wakapau et d’Akawini, dans le nord de l’Amérique du Sud, ont construit leurs églises elles-mêmes.

Un short, un t-shirt, une casquette de baseball et des bottes en caoutchouc – parfois, il faut être en tenue de travail pour l'Œuvre de Dieu. Pour cela, quelques Néerlandais ont traversé la mer.

« Même dans les moments les plus sombres, tu peux être sûr que notre Dieu est à tes côtés. » Cette certitude, les communautés du Venezuela souhaitent la partager avec leurs frères et sœurs du monde entier – voici quelques aperçus de leurs conditions de vie.

13 organisations humanitaires officielles sont nées de l'Église néo-apostolique, il y a donc un nombre incalculable de bénévoles qui s'engagent. C'est à eux que nous voulons rendre hommage aujourd'hui, en cette Journée mondiale de l'aide humanitaire.

Se faire des amis était facile. Environ 1 000 jeunes de toute l’Amérique, d’Australie et du Sud de l’Allemagne se sont réunis début août – pour briller ensemble et communiquer le faisceau lumineux.

Plus de 100 jeunes ont participé à une journée de jeunesse en Amérique du Sud et plusieurs milliers se sont réunis en Afrique pour des services divins de jeunesse. Les jeunes ont montré leur foi en partie publiquement lors de diverses manifestations organisées spécialement pour l'avenir de l'Église.

Un burin à la main, Manuela van Husen traverse le couloir de l'hôtel. Elle est en route pour une mission spéciale. Cela aussi fait partie de l'assemblée des apôtres de district (AAD) – tout ce qui se passe en arrière-plan.

Il y a 125 ans, l'apôtre-patriarche Friedrich Krebs ordonnait comme apôtres deux hommes qui s'étaient déjà distingués dans la jeune Église. Outre leur ministère, les deux hommes avaient des points communs qui ont encore des répercussions aujourd'hui.

Lorsque l'organe de décision suprême de l'Église néo-apostolique se réunit, les communautés situées à proximité du lieu de réunion en profitent également : Les apôtres de district ont à nouveau parcouru les environs à l'occasion du service divin en semaine.

Elle n’y était jamais allée, mais se sentait attirée par ce pays : ayant grandi en Uruguay, Irene Berger-Chreim souhaita se rendre en Allemagne, le pays de ses ancêtres. Elle a donc émigré ; et, toujours avec elle, Dieu.

Il savait exactement ce qu'il faisait, ce Jésus, lorsqu'il a choisi sa monture pour entrer à Jérusalem. De plus, il a ainsi envoyé des signaux jusqu'à notre époque : voici une réflexion sur le thème du dimanche des Rameaux.

Quand quelque chose se passe bien, on ne pense souvent pas à le dire aussi à Dieu. Pourtant, la reconnaissance est également un élément important de la prière. En accord avec la devise de l'année, « La prière agit ! », voici quelques conseils pour les parents, les enfants et tous les autres.

La prière est la respiration de l'âme, dit l'apôtre de district Enrique Eduardo Minio (Amérique du Sud). Ce qu'il faut faire pour pouvoir respirer librement, on le lit dans son article de la série « Pleins feux... » consacrée à la devise de l'année.

Quand les cultures se rencontrent : les Africains doivent-ils devenir plus européens ou les Européens plus africains ? Les conservateurs doivent-ils devenir plus progressistes ? Ou les progressistes plus conservateurs ? La réponse se trouve dans la Bible.