Qu'il s'agisse de chauves-souris ou de musiciens : il se passe parfois beaucoup de choses dans les communautés néo-apostoliques. Des rencontres turbulentes ont eu lieu ces derniers jours en Europe, en Amérique et en Afrique.

Trente aînés entonnent des chants populaires dans une maison de soins, cinq bénévoles prennent des responsabilités dans la planification de projets humanitaires et une université fait don de tableaux numériques à des écoles : chacun fait ce qu'il peut pour rendre le monde un peu meilleur.

L'Université du Ghana, l'Université des Sciences et de la Technologie et l'Université de Cape Coast – l'Église néo-apostolique du Ghana est présente sur le campus de ces trois universités. Depuis deux ans, elle l'est également sur celui de l'University of Education de Winneba. Cela a été fêté en grande pompe.

Les organisations caritatives de l’Église néo-apostolique se sont donné pour mission d'aider. Avec de gros investissements, ils peuvent faire bouger les choses. Parfois, ce sont de petits gestes qui produisent de grandes choses.

Les anecdotes amusantessur nak.org ont été adaptées. La communauté de Madrid (Espagne) est actuellement la communauté qui compte le plus grand nombre de nationalités. Cela fonctionne... grâce à Jésus.

Dons du sang avec vue sur les tuyaux d'orgue, enregistrement des naissances devant l'autel et repas sous l'emblème - les églises sont des lieux de sainteté, mais parfois elles se mettent au service de la société et ouvrent leurs portes pour une bonne cause.

Une église ouverte à tous, ce n'est pas toujours facile. Mais les membres de l'église s'efforcent de faire en sorte que chacun trouve sa place dans l'église. Que ce soit lors de fêtes, d'ateliers ou de services divins, tout le monde est le bienvenu.

Les diaconesses néo-apostoliques des premières décennies portaient-elles ou non un ministère spirituel ? La réponse passe par deux autres questions : Les femmes étaient-elles ordonnées ? Et quelles étaient leurs tâches ? – L'état actuel des recherches.

Il y a des jeunes qui aiment s'engager socialement. Et il y a des pays où les chrétiens néo-apostoliques ont un besoin urgent de soutien. Pourquoi ne pas combiner les deux ?

Une assiette crée des amitiés, deux poupées expliquent Dieu... Il existe différentes façons de faire connaissance. Et parfois, elles sont même insolites. Au cours des dernières semaines, diverses activités ont été organisées dans les environs de l’Église néo-apostolique pour faire connaissance.

En matière de prévention contre les abus sexuels, l’Église néo-apostolique ne se permet pas le moindre relâchement : l’exemple le plus récent est l’introduction d’un code de conduite obligatoire dans l’Église territoriale d’Allemagne occidentale.

Les distances, les murs des prisons, les conventions sociales : les chrétiens néo-apostoliques ne se laissent pas arrêter dans leur volonté de s’occuper de leurs frères et sœurs en la foi et de vivre la communion fraternelle – jetons un regard sur la vie de communauté à l’échelle mondiale.

Pour un service divin, il n'est pas nécessaire d'avoir un lieu de célébration. C'est ce qu'a montré une communauté d'Afrique du Sud, où les ministres se rendent au domicile de leurs frères et sœurs en semaine. Pendant ce temps, d'autres construisent des maisons de Dieu avec des particularités.

De la nourriture, des couvertures chaudes et de l'eau : voilà ce dont les gens ont besoin dans la vie quotidienne. Parfois, le strict nécessaire fait défaut et il est alors bon que de bons samaritains des temps modernes reconnaissent le besoin et agissent.

Il n'était pas le premier à occuper cette fonction, mais le premier à porter ce titre : l'apôtre-patriarche Hermann Niehaus est né le 28 juillet, il y a 175 ans. Voici l'histoire de l'homme qui a fait des communautés néo-apostoliques une Église.

Jusqu'à l'année dernière, l’Église néo-apostolique n'ordonnait-elle vraiment que des hommes dans un ministère spirituel ? Et qu'en est-il des diaconesses, qui ont été actives pendant 80 ans en Europe, en Amérique et en Afrique ? – Voici quelques chiffres, données et faits pour un premier aperçu.

Les sèche-cheveux chauffent, les marteaux frappent et les têtes fument : l'église de Parkwood (Afrique du Sud) a été transformé en centre de formation pour les jeunes défavorisés. Ces derniers y acquièrent bien plus que des compétences professionnelles.

L’histoire se termine bien : « N'oublie donc jamais : Quoi qu'il arrive, ce n'est pas encore la fin de l'histoire », s'est exprimé l'apôtre-patriarche. Mais on peut déjà expérimenter la bénédiction auparavant – c'est ce que montre une histoire personnelle.